Une recherche en médecine et criminologie

Publié le par le constitutionnel

 Les membres du Centre Médical ONG participent à de nombreuses études cliniques concernant :
le suivi au long terme de certaines pathologies et l'efficacité des traitements instaurés ;

le développement de nouveaux médicaments ; ou à l'élaboration de certaines lois régissant certains crimes contre l'humanité commis par la torture et la dégénération des victimes comme le cas de la transformation biologique par arme scalaire où les médicaments restent sans effet alors qu'ils sont prescris par certains neuropsychiatres. 

L’évaluation de nouvelles technologies.

La structure du Centre Médical, son équipement de haut niveau, sa polyvalence et sa réputation en ont fait un partenaire de choix pour les services de renseignement.

La recherche clinique est une activité médicale de pointe associant les soins médicaux à la recherche de nouveaux traitements ou la recherche en criminologie afin de faire progresser la médecine en déterminant si les nouveaux médicaments, traitements ou technologies sont sûrs et efficaces ou des lois sanctionnant en criminologie.

Notre participation à de telles études permet à certains de nos patients nécessitant des soins particuliers de bénéficier de nouveaux traitements auxquels ils n'auraient pas eu droit avant plusieurs années en dehors du cadre de la recherche et de servir la jurisprudence à élaborer de nouvelle lois telles que celle sanctionnant le crime commis par ordinateur en possession de la phalange sioniste à la délégation provençiale hay mohammadi et casa-anfa, où des cas horribles d'asservissement physiologique et de traitement neuropsychiatrique et de lavage de cerveaux, sont commis sur des victimes à leur domicile et en plein lieux publics à casablanca.
 

Les études médicales se font toujours dans le cadre de protocoles internes et internationaux de qualité fournissant les bases applicables par la justice pour évaluer les préjudices subis et prévoir les sanctions à l'encontre des bourreaux criminels se font  dans le respect de la règlementation internationale et des directives de l'ONU et C.I.J. L'instauration d'un traitement, même dans le cadre de la recherche ne peut se faire qu'au bénéfice du patient et de sanctionné éventuellement les bourreaux selon les statuts de Rome au vue de l'article 8 du "crime against humanity of biological experiment "

Il est évident que ces études ne sont réalisées qu'avec l'accord de nos patients (consentement éclairé) et après que nous ayons acquis la certitude  pour  déterminer   les dégâts des victimes et d'autres études ont été faite sur les victimes dégénérées par compresseur à flux magnétique dans le cadre des violations des droits de l'homme.

L'étude du crime contre l'humanité a relevé des cas de transformation de l'être humain en animal et en dégénéré conditionné par la misère intellectuelle de ses bourreaux ce qui nous permet de conclure à l'impossibilité d'une intervention médicale pour remédier au cas des victimes par la torture, aucun traitement n'est possible, l'irréversibilité totale des lésions subies par l'organisme humain, c'est l'acte criminel le plus odieux qui doit être sanctionné très sévèrement d'où l'élaboration en matière de médecine légiste pour les autopsies de cadavres vidés de leur sang où décédés par crise cardiaque violente, où intense torture à domicile , pour le cas du Maroc les seuls responsables bourreaux sont à la délégation provençiale hay mohammadi et casa-anfa où se trouve le matériel émanant ondes radio, magnétisme, laser et muni d'une caméra numérique et où une tribu de barbares primates à impulsions bio-anthropoides s'adonnent à l'endo-cannibalisme et à l'exo-cannibalisme et à la subversion et banditisme du fait qu'ils se trouvent cachés derrière le voile de l'administration alors qu'ils préparent un coup d'Etat avec ce même matériel contre la monarchie de Rabat.
 

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