Du nouveau dans l’affaire Tabet

Publié le par le constitutionnel

 Les invectives entre partenaires sont courantes parce qu’il n’y a pas de contrôle.  Les criminels cachés derrière le voile de l'administration se portent contre l’adversaire et toutes les manipulations sont permises. Il s’agit des affaires judiciaires. Depuis l’affaire Tabet, Cette année, l'affaire «Bin Louidane». Certitudes, C’est que là tout le monde manipule l’opinion par voie de presse. C’est Laânigri qui a nommé Izzou à la tête de la sécurité des palais, on en rajoute: il aurait assisté au mariage de son subordonné avec la fille du trafiquant. Totalement faux,  Un monsieur, se présente au juge d’instruction Serhane comme un envoyé d’une princesse pour intervenir en faveur d’un accusé. Le juge le fait arrêter illico. L’information devient: il voulait intervenir pour le commandant Lahlimi. Les avocats de celui-ci ont aussitôt réagit. Ce commandant de la gendarmerie n’aurait reconnu que peu de la part de Bin Louidane  Surtout que le trafiquant voit sa fortune gonfler de jour en jour : elle a atteint 6 milliards DH au dernier pointage médiatique totalement Bin Louidane monopolise le marché depuis 15 ans, ce qui n’est pas le cas parce que des trafiquants de haut calibre, ce n’est pas ce qui manque. Cette partie fait deux grandes victimes : la justice et la presse. La première ne peut s’exercer correctement que dans la sécurité, le secret de l’instruction , c’est à la fois un gage d’efficacité et une protection des droits des accusés. La presse, ne peut perdre en crédibilité. Lors de l’affaire Tabet, Présenté comme un monstre parce qu’il pratiquait des jeux érotiques très courants, il a été amené devant la potence avec la complicité de la presse.

Dans cette affaire plusieurs têtes continuent les mêmes crimes que Tabet, toujours production pornographique, trafiques de drogues et organes humains au plan international, subversion contre le régime de rabat.

 

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article