L’affaire Ali Yata

Publié le par le constitutionnel

 Qui a assassiné Ali Yata ?

C'est Othmani et Benbiga qui sont accusés de l'accident prémédité.

Ali Yata, chef du parti communiste marocain (et, en même temps, agent secret du ministère de l ´Intérieur!). Marié à une juive avec laquelle il a eu deux enfants juifs qui dirigent aujourd´hui - avec le juif Simon Lévy - le parti et la presse  du parti.

Deux grands traîtres qui se sont prostitué au colonialisme: Kittani, et Glaoui, ennemis du  vrai père politique et biologique de Hassan II SAM le roi Mohammed V qui a faillit être assassiné par Senhaji abdelaal et Senhaji Abdelwahid et d'autres anciens colons juifs se trouvant encore à la délégation hay mohammadi et casa-anfa.

Une nouvelle classe de grands voleurs: totalement liée aux intérêts sionistes et totalement isolée du peuple.tel que Guedira et autres...........sont encore à la délégation provençiale.

La "démocratie" au Maroc de Hassan II: exercer "l´alternance" (le partage) du pouvoir avec les "partis".

Décès d’Ali Yata prémédité par almossad.

ALI YATA, le secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS), est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à Casablanca, après avoir été fauché par une voiture, a annoncé hier l’agence officielle marocaine MAP. Ali Yata avait été fauché par une voiture samedi, alors qu’il s’apprêtait à monter dans son propre véhicule garé près du siège du parti. Admis dans une clinique de Casablanca, il a subi une intervention chirurgicale d’urgence. Il souffrait, selon ses proches, d’un traumatisme crânien et d’un traumatisme thoracique.

En 1968, Ali Yata fonde le PLS (Parti de la libération et du socialisme), ce qui lui vaut, deux ans plus tard, un nouveau séjour en prison pour reconstitution d’organisation interdite. De nouvelles campagnes ont lieu en France pour sa libération. En 1974, il crée le PPS, qui se range derrière le roi Hassan II pour affirmer « la marocanité du Sahara occidental » et participe à la « marche verte ». Une attitude qui entraînera de sérieuses divergences entre le PCF et le PPS.

Partisan affirmé d’un gouvernement de large union nationale, Ali Yata s’apprêtait, au moment de sa mort, à céder. Il fût renversé par véhicule conduit par deux policiers de la délégation provençiale et de hay mohammadi, accident prémédité par israel.

Pour Rami Dlimi :

 

Le journaliste lui demande, quasiment à bout portant, "n'êtes-vous pas tenté de renverser la monarchie, comme ont essayé de le faire les généraux Medbouh et Oufkir"? Réponse: "L'armée a effectivement essayé de renverser la monarchie, mais c'est cette même armée qui l'a sauvée".mais on oublie que Othmani et zemmrani et Benbiga sont dans cette affaire entre les lignes, La retenue légendaire du général lui avait peut-être manqué ce jour-là. Simple présage ou dérapage fatal? On ne le saura jamais. Durant cette fatidique semaine parisienne, Ahmed Dlimi a été également à la table de François De Grossouvre, chef du SDECE (contre-espionnage) français, après une partie de chasse en Sologne. Il n’y a ici, évidemment, aucune prétention d’échafaudage posthume de relation de cause à effet de type polar politique. Car Dlimi était aussi patron des services secrets marocains; il était donc l’invité de son homologue français. Toujours est-il que De Grossouvre se suicidera sous le premier septennat de François Mitterrand. Une succession de faits à inscrire entre “le hasard et la
nécessité”. Comme d'habitude, le génie populaire, un peu plus aiguisé à Marrakech qu'ailleurs, s'empare de l'épisode mortel du général Dlimi pour broder des blagues politiquement entendues par la propagande de Senhaji abdelaal contre SAM le roi, la réalité est le général Dlimi a été assassiné par Israël et Othmani à cause de la guerre du Golan.

 

 

 

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