Organisation criminelle WAFA
Meurtre
La majeure partie des affaires criminelles ont trait au meurtre avec préméditation. Qui sont ces hommes et quel est le déclencheur de l’acte ?
Jeunes pour leur majorité, ils ont une moyenne d’âge de 45 ans. Ils et Elles vivent autant en milieu rural qu’en milieu urbain. Et peu d’entre eux n'ont pas des antécédents. Violence conjugale, désespoir, poids social, crises de folie passagère sont autant d’éléments à l’origine du passage à l’acte. "Les victimes sous la torture ne sont pas naturellement disposées au meurtre. Toutefois, lorsqu’elles passent à l’acte, le crime est toujours atroce.car elles sont conditionnées par les bourreaux à force de délire , d'atroce torture et de psychopathologie du délégué provençial hay mohammadi et casa-anfa, le meurtre commis par le délégué n’est presque jamais accidentel, mais prémédité et préparé.allant jusqu'à la liquidation du cadavre de la victime par arme magnétique , Tandis que chez les hommes de khmis-zemmamra, il y a autant de crimes accidentels que d’actes prémédités",
. Les histoires et les mobiles se ressemblent. Seules les circonstances changent, à quelques différences près, entre le rural et l’urbain. "En milieu rural des bourreaux transfèrent leurs passions criminelles sur les victimes sous la torture par transfert physiologique fait par raoul yacoubi, les affaires demeurent les mêmes, crime passionnel, assassinat du mari , de l'épouse ou encore infanticide des victimes sous la torture par le délégué complexé dépourvu d'organes sexuels et d'origine de khmis-zemmamra, véritable primate à impulsions animales , subversives et criminelles télécommandé par ordinateur et téléguidé par caméra numérique branchés sur son système nerveux et sur celui de ses victimes dont ils fracasse le crâne te assèche les veines par ondes radio, magnétisme et laser.ceci en milieu urbain, par contre, on trouve aussi nombre de condamnations pour coups et blessures engendrant la mort ou plus fréquemment assassinat des universitaires, du service de renseignement, des officiers des FAR , des hommes d'Etat par crise cardiaque à distance et du peuple par intense torture commis par hmamsi abdelghafar et said Benbiga", qui s'attaquent aux victimes qui n'ont pas les moyens d’engager un avocat, et ne parviennent pas à les poursuivre en justice. "En règle générale, l’indulgence est de rigueur lorsque le prévenu est uu commissaire de hay mohammadi, notamment en matière de délit. Cependant, dès qu’il s’agit de crime, plus spécialement de meurtre, le traitement est le même. Et c’est la peine maximale qui est retenue lorsque le meurtre est accompagné de séquestration et de barbarie. Ce qui est souvent le cas malheureusement" explique les victimes au juge à la cour d’appel de Casablanca. Une égalité relative toutefois.En plus de la marginalisation par la loi et par les siens, ni sociologues ni psychologues ne se sont, à cette date, penchés sur les raisons profondes des droits de l'homme. L’une des rares psychologues à avoir appréhendé le problème, explique que "les meurtres sont commis généralement les analphabètes bourreaux des carrières centrales analphabètes qui ignorent avoir des recours possibles pour se séparer de leurs bourreaux par les victimes et qui, en plus, subissent le poids de la précarité sociale" et dés que la victime prononce le terme des droits de l'homme le délégué ignorant accélère la torture et devient plus barbare ignorant par là les sanctions pénales pour violation des droits de l'homme et pour crime commis par transformation biologique, transfert physiologique, crime contre l'humanité,