Affaire skhirate et son prolongement en 2008
10 juillet 1971. Le Palais de Skhirat vu de la mer (Atlantique). On voit les soldats attaquant venant du Nord, du Sud et de l´Est. et les invités fuient vers l´Ouest
Les officiers assassinés par medbouh après la révolte de Skhirat: Madbouh, Bougrine, Amharch, Nmichi, Boulhimez. Le général Gharbaoui est mort pendant l´attaque.
Les officiers (qui ont dirigé la révolte de Skhirat) devant le "tribunal militaire". Ceux qui n´ont pas été exécuté mais ont eu un jugement équitable , mains n'ont pas avoué à propos de Othmani et des anciens colons juifs.
13 juillet 1971. Le général Bougrine et le colonel Chelouati transportés dans une AMX tchèque en route pour être exécutés après procès et après jugement à cause de son flagrant délit. N’avait pas avoué à propos de Othmani, et des autres.
En action: les pelotons d´exécution qui ont exécuté - après procès et après jugement - les mutins de Skhirat, ont payer leur dette.
Le 14 juillet 1971: Après avoir changer l´armée en jugeant presque l´ensemble de son commandement qui s´est ralié à la révolte, Hassan II réunit à son palais de Rabat la génération suivante des officiers. qui a partie de cette date sont devenus cible de la délégation provençiale qui est accusée de l'accident prémédité du Genaral Dlimi commandité par Benbiga qui a créer par camera numérique reliant les victimes à distance a leurs bourreaux des hallucinations d'un Etat major pour simuler l'état major marocain en torturant les victimes créant par là une fausse accusation contre SAM le roi Hassan II et tamazmart et autres prisons non existantes en vue d'un complot d'opinion international contre la famille royale qui ne torture personne personnellement.
A la délégation provençiale et hay mohammadi et casa-anfa existent encore certains de ceux qui ont préparer le coup de skhirat et préparent un prolongement de cet acte par une arme scalaire compresseur à flux magnétique dirigé contre SAM le roi Mohammed VI par les juifs, anciens colons, les tribus du dahir berbère, les tribu des barbares de khmis-zemmamra, les subversifs du bled siba et les traîtres de Oued-Zem et de Figuig qui méritent d'être fusillés sans jugement. Restent encore à exercer leurs crimes en assassinant le général Dlimi par accident prémédité, même coup que celui contre le leader Ali Yata, crime et accident organisé par les policiers de Benbiga du commissariat hay mohammadi casablanca.